Samedi dernier, 29 février, les Anciens Sapeurs-Pompiers ont tenu leur assemblée générale annuelle à HERIC, à l’invitation de Jean-Claude JOUANO, président de l’UDSP 44.
On pouvait déjà noter en préambule, une participation supérieure aux années précédentes et de nombreux anciens arborant fièrement le blouson qui leur permet désormais de s’aligner et de défiler au côté des actifs lors des cérémonies.
La commission des A.S.P. animée par Claude SALLIOT et Jean-Pierre BARRAULT, avait préparé un ordre du jour dense, certes, mais ô combien instructif.
Après le mot d’accueil du président et le bilan financier, les anciens en savent désormais plus sur les règles de gestion des prestations de fin de service des SPV et la réversion, grâce à l’excellente prestation de Madame Nadine MAHE, accompagnée de Madame Corinne TURBEAUX, du SDIS. Remarque soulevée par un participant : « c’est très intéressant mais ce serait bien que cette présentation soit faite aussi aux chefs de centre car cela concerne surtout les actifs« .
Le délégué social a présenté le bilan social en annonçant que l’UDSP 44 avait décidé d’élargir le contrat « Capital décès toutes causes » aux anciens sapeurs-pompiers jusqu’à l’âge de 85 ans.
Les journées de convivialité annuelles, présentées par Jean-Claude ROUSSEAU, auront lieu les jeudis 4 et 11 juin prochain, près de MACHECOUL.
Claude SALLIOT a ensuite rappelé que des modalités relatives au port du blouson avaient été établies ( Modalités-port-du-blousOn-ASP-44 ) dans un souci d’ordre protocolaire et d’harmonisation des pratiques lors des cérémonies.
En fin de réunion, après le point d’actualité du président, le contrôleur général Laurent FERLAY a répondu à des questions tristement d’actualités (agressions envers les SP) et à une demande de la commission des ASP concernant la faisabilité du port de la fourragère pour reconnaître les anciens sapeurs-pompiers ayant participé à des interventions répertoriées au titre de son attribution. Affaire à suivre…
En conclusion : des anciens visiblement satisfaits
qui avaient la « banane » en arrivant
et qui ne pouvaient donc qu’avoir la « pêche » en repartant…